Comment homologuer une trottinette électrique ?
En résumé
Qui est concerné par l’homologation ?
Une trottinette électrique n’est pas censée pouvoir dépasser les 25 km/h. Dans le cas d’un véhicule non bridé, ce dernier n’est plus considéré comme un EDPM mais comme un deux-roues. De ce fait, il est considéré considéré comme non-homologué. Afin d’éviter toute sanction, il vous appartient de procéder à l’homologation de votre véhicule.
Comment homologuer une trottinette ?
Plusieurs étapes sont à respecter pour pouvoir homologuer une trottinette électrique. En premier lieu, il faudra immatriculer le véhicule afin de l’enregistrer juridiquement. Dans un second temps, vous devrez souscrire à une assurance responsabilité civile au minimum. Vous pourrez également faire le choix d’étendre les garanties de votre contrat pour être mieux couvert.
Le bon plan APRIL Moto
APRIL Moto vous propose de vous assurer en tant qu’usager d’un NVEI de type trottinette électrique. La spécificité de ce contrat est que la garantie responsabilité civile est rattachée à l’utilisateur de la trottinette et non pas à cette dernière.
Demander mon bon planL’homologation des engins roulant à plus de 25 km/h
En effet, comme mentionné précédemment, vous n’avez pas le droit de dépasser une vitesse de 25 km/h, si votre engin n’est pas homologué. Présente dans le Code de la route, vous devez obligatoirement respecter cette règle, sous peine d’être passible d’une amende.
Qu’est-ce que l’homologation ?
Les trottinettes électriques qui ne sont pas homologuées sont les modèles les plus présents sur le marché, puisqu’ils sont moins dangereux que les modèles homologués. Si vous possédez un engin qui vous permet de dépasser la vitesse autorisée, vous devez absolument l’homologuer. Autrement dit, vous devez obligatoirement déclarer votre véhicule.
Pour ce faire, vous pouvez vous rendre à la préfecture ou procéder directement en ligne pour effectuer les démarches, cela vous simplifiera la tâche. Une fois la procédure d’immatriculation établie, vous recevrez un numéro d’authentification unique, qui sera propre à votre véhicule. Ce numéro vous permettra de déclarer et d’identifier votre appareil. Celui-ci sera naturellement inscrit une partie inamovible de votre trottinette électrique.
Dans quelle mesure faut-il procéder à l’homologation de votre engin ?
Si vous vous procurez votre appareil, vous devez prendre en compte certains critères. Le premier concerne en premier lieu la vitesse qu’il peut atteindre. Référez-vous au niveau de vitesses de votre engin avant de vouloir l’homologuer. En effet, cela serait inutile si votre trottinette électrique ne peut pas dépasser la vitesse autorisée, autrement dit 25 km/h.
Dans le cas où votre véhicule dispose d’un moteur vous permettant d’aller au-delà des 25 km/h, vous devez absolument établir une procédure d’homologation avant de pouvoir rouler. Pour ce faire, il convient de respecter certaines conditions. Mais, quelles sont-elles exactement ?
Vous l’aurez compris, cette notion est obligatoire pour tous les propriétaires possédant un véhicule dépassant la vitesse autorisée. Il est du devoir de l’usager de regarder les normes de fabrication appliquées à votre appareil et si celles-ci respectent les conditions applicables dans la zone européenne. Autrement dit, votre trottinette électrique doit disposer du label CE. Il est important de vérifier cela, car si celle-ci de dispose pas de cette certification, vous ne serez pas en mesure de rouler en France, ni ailleurs en Europe. Ainsi, pour ne pas enfreindre la loi, respectez bien cette règle qui est cruciale.
Il est recommandé de réclamer ce certificat de conformité dès lorsque vous achetez votre appareil, cela facilitera ainsi la procédure d’homologation. Découvrez désormais toutes les étapes d’homologation d’une trottinette électrique.
Quelles sont les étapes à suivre pour homologuer sa trottinette électrique ?
Deux étapes principales sont à suivre pour l’homologation de son véhicule.
L’immatriculation du véhicule : une étape clé
La première étape est l’immatriculation de celui-ci, ce que nous avons évoqué plus haut. En effet, cela constitue l’étape de base pour pouvoir se déplacer en toute sérénité. Il faut se rendre au ministère de l’Intérieur pour procéder à cette étape. Pour remplir cette formalité, vous devrez présenter le certificat de conformité que le vendeur vous aura délivré au préalable.
Si vous n’êtes pas en mesure de présenter ce certificat, vous ne pourrez pas rouler et la demande d’immatriculation sera forcément annulée. Il faudra donc attendre que votre véhicule possède cette certification et respecte les normes de fabrication européenne. Autrement, dans le cas contraire, vous aurez un numéro d’authentification unique délivré par le ministère de l’Intérieur.
Une fois ce numéro obtenu, c’est à vous de le fixer comme il se doit sur votre véhicule. Vous devez le fixer sur une plaque placée sur une partie inamovible et fixe.
L’assurance pour vous protéger sur la route
Le fait d’assurer son véhicule constitue la seconde étape principale de l’homologation de celui-ci. Si vous possédez un véhicule motorisé dépassant la vitesse autorisée, celui-ci sera considéré comme une moto, un quad ou encore, une voiture. De ce fait, votre véhicule doit être assuré à ce titre et non comme une assurance pour trottinette.
En optant pour une assurance, vous aurez la garantie d’être protégé durant tous vos trajets. De ce fait, celle-ci vous protègera des dégâts matériels et corporels, si un accident devait avoir lieu. Dans votre contrat d’assurance, vous pouvez opter pour plusieurs garanties, telles que la couverture contre le vol, par exemple.
Pour vous assurer sur la route, vous pouvez opter pour l’assurance trottinette APRIL Moto, qui vous offre toutes les garanties citées ci-dessus. En plus de cela, vous aurez systématiquement la garantie responsabilité civile. Alors, n’attendez plus et couvrez-vous avec APRIL Moto !