Avant Course épisode 5 : Grand Prix d’Espagne
Découvrez le cinquième épisode de notre websérie Avant Course. Durant cet épisode, Johann Zarco vous décrypte en exclusivité le circuit du Grand Prix d’Espagne.
En exclusivité, APRIL Moto a lancé une websérie avec Johann Zarco. Plusieurs thématiques et formats ont été abordés : l’Avant Course, où Johann prend la parole avant la course du week-end ; le Fast Track, format plus décalé durant lequel Johann se dévoile un peu plus ou encore le Zarco Inside, afin de mieux connaître l’homme qui est derrière le pilote.
Pour voir la vidéo, c’est par ici :
Pas assez de réseau pour voir la vidéo ? Envie de lire le résumé ? Pas de panique : vous trouverez ci-après la retranscription du texte de l’interview. Bonne lecture !
« Début mai en Andalousie, à Jérèz. C’est un circuit que tous les pilotes aiment beaucoup, on ne s’ennuie jamais à rouler là-bas. C’est un circuit plutôt petit, sur lequel ce n’est pas simple d’utiliser toute la puissance de la moto. Mais le tracé est très intéressant. Et on a ce public aussi qui nous attend depuis un moment, qui a de la chaleur, ils sont bien organisés, ils prennent toutes les montagnes. Je me souviens, il y a une dizaine d’années, de 135 000 personnes le dimanche. Ca a beaucoup diminué depuis pour différentes raisons, enfin surtout une. Mais voilà je me souviens de tous ces drapeaux, ils aiment bien mettre des pétards à la fin des courses. Les pilotes espagnols dominent en général, depuis une bonne décennie, et ça le public lui rend bien. Du coup, quand j’arrive là-bas, c’est bonne ambiance, je n’ai pas de pression puisque la pression est sur les épaules des pilotes espagnols. L’Andalousie, début mai, c’est le début de l’été pour un français. Il ne fait pas encore ultra chaud mais il fait super bon. C’est très agréable pour s’y entraîner parce qu’en plus, là, on va l’enchaîner directement après le Portugal, ce qui fait que je ne rentrerai pas à la maison. Je vais donc pouvoir ou profiter de l’océan sur les côtes portugaises ou alors profiter d’un bon golf en Andalousie. Disons que quand on pense à cela, ce sont les moments très agréables entre deux grand prix qu’on peut faire. »