Avant Course épisode 2 : Grand Prix d’Indonésie

Découvrez le second épisode de notre websérie Avant Course. Durant cet épisode, Johann Zarco vous décrypte en exclusivité le circuit du Grand Prix d’Indonésie.

En exclusivité, APRIL Moto a lancé une websérie avec Johann Zarco. Plusieurs thématiques et formats ont été abordés : l’Avant Course, où Johann prend la parole avant la course du week-end ; le Fast Track, format plus décalé durant lequel Johann se dévoile un peu plus ou encore le Zarco Inside, afin de mieux connaître l’homme qui est derrière le pilote.

Pour voir la vidéo, c’est par ici :

Pas assez de réseau pour voir la vidéo ? Envie de lire le résumé ? Pas de panique : vous trouverez ci-après la retranscription du texte de l’interview. Bonne lecture !

« Alors l’Indonésie, oui, c’est un nouveau grand prix. Ce n’est pas une découverte de piste parce qu’on a pu s’y entraîner et découvrir le tracé pendant le mois de février. Mais clairement, ce qui est nouveau, c’est d’arriver dans ce pays où il y a une ambiance de folie chez les fans. Via les réseaux sociaux, c’est incroyable de voir le nombre de fans qui viennent d’Indonésie. On va à cette destination peut être un peu pour ça, pour aller dans un endroit où il y a vraiment une énergie incroyable pour le moto GP. Ce que j’ai en tête, moi, sur ce grand prix, c’est la chaleur, l’humidité, et ça, ça va être très éprouvant physiquement. Heureusement, le tracé n’est pas trop exigeant pour les motos, il n’y a pas de longues lignes droites ni de freinages vraiment violents. Du coup, il n’y a pas trop d’éléments qui surchauffent sur la moto. Mais, rien que les conditions font que c’est surtout difficile pour le corps, il faut se bouger, et ça, c’est un peu difficile. Le tracé d’Indonésie, à Mandalika donc, c’est le nom de la ville, ou on va dire du quartier, dans lequel le circuit a été fait, est petit. Le tour du circuit ne fait que 4,2 kilomètres, pourtant il n’y a pas de virages très lents et il y a beaucoup de changements d’angles, on passe de gauche à droite, mais avec des vitesses assez élevées. Du coup cela permet, une fois qu’on a trouvé son rythme, de pouvoir le garder et d’espérer de faire une belle course. »